Tu cherches tes racines, loin dessous les pierres
Tu retournes ta terre humide avec ta tête en fer
Tu as mal car tout autours les glaires
Des glaires nouvelles d'hommes d'ailleurs libèrent
Le nouveau sida du monde qu'on dit nécessaire
Mais que toi, travailleur côtoyant les vers
Tu devines comme étant pire que l'hiver nucléaire
Tu te sais condamné à mourir en pauvre erre
Le cul déployé, exposé au grand air
Si point ne te soulèves et fourche brandis contre l'enfer
Et hors ton champs bouter ces barbares berbères
De tes terres, je t'y exhorte, bel Homme et fier
Deviens enfin le puissant cerbère
Comme autrefois par le sang tes pères
Surent se défendre malgré leur pain de misère.
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Ne pourrions nous pas tuer tous les gens vilains qui empèchent des personnes si brillantes comme toi de reprendre leur foutre de vérité sur le visage de la France ?
RépondreSupprimermerci de ta réponse brave Jean.
Jean, à nouveau vous formez l'escadrille de la pensée d'avant garde, je retrouve la france d'hier et j'espère la FRANCE de demain. Les suiveurs vous lèchent encore la raie. longue vie à la poesie francoiiiisssse .
RépondreSupprimerdami chéri
Cher Jean,
RépondreSupprimerConnaissez vous "Rêve de Fer" de ce fameux Norman Spinrad"? C'est pour vous!
Salutations distanciées mais non moins affectées!
Marie Wehrmacht