mercredi 8 juillet 2009

femme, sois toi!

Non! L'Homme n'est pas une femme!
Non, mesdames! L'Homme n'est pas doté des mêmes qualités.
À qui feras-tu croire que je suis ton égale, garce?
Tu as une mission que tu refuses de remplir, mais ce n'est pas moi qui ai créé ton corps.
Ce n'est pas moi qui t'ai donné ce pouvoir immense et brûlant de donner la vie.
Non-plus que ce n'est moi qui t'ai dotée de ce pouvoir chaud de donner la joie.
Le pouvoir de l'Homme est froid et supérieur, qui le niera? Toi?
Bats-toi contre moi, vérifions celà, si tu es si sûre de toi!
La force que m'a donné le Très Haut et qu'aucune science n'oserait contredire,
Fait de moi ton précepteur.
Je ne porte pas de jupe, tu le vois bien!
Pourquoi alors, portes-tu, toi, les braies qui couvrent les Hommes?
Où vas-tu ainsi fagotée?
Et cette chevelure sans fin, si désirable que tu portais autrefois?
À la trape? POURQUOI?
Je te le dis, femme, tu n'es pas mon semblable.
Accepte ton rang. Crains-moi.
Ta sagesse de mère est noble.
Ton sang est pur et coule en les veines de notre fils.
Ne le salis pas en te grimant ainsi de laideur.
Reste à la place qui est la tienne.
Veux-tu que ton sang soit de règles?
Crois-tu que le mien soit menstrues?
C'est bien là le discours des grues.
Petite chose brouillonne, tu bouillonnes!
Croquis égaré dans le coin d'une page de la Bible,
Tu as un saint rôle. Que ne t'en satisfais point?
Vois où tes caprices nous ont menés, femme!
En ce jour des temps modernes, à la merci des mosaïstes maoïstes!
Tu as voulu siéger là où nous sommes légitime, nous autres ton époux.
Tu es de mon sang, mais retourne dans le rang!
Sois femme, femme! Sois toi!
Ne me regarde pas si envieuse.
Pécheresse, je n'ai pour toi que tendresse et bonhommie.
Si tu reviens, je t'accepterai sous ton toit.
Quel est-il donc, cet Homme qui ne saurait pardonner comme Christ lui apprit?
Sur le Mont Golgotha, il y a 2000 ans de celà, un Homme est mort pour toi.
N'oublie point cela, Eve qui pêchas.

PAUVRE PAUVRE.



Pauvre, sois riche!
Je te l'ordonne!
Suis mon exemple!
Suis la vraie route!
Cesse de demander l'aide!
CESSE OU EN-VA T'EN!

Pauvre, tu es bien laid, aujourd'hui.
Qui t'écoutera geindre?
Ne sais-tu prendre des risques?
Ne sais-tu qu'il n'y a de salut que dans l'action?
Ne sais-tu qu'il se faut violer pour vivre?
Qui t'a fait croire qu'il fallait compter sur tes frères pour sortir de la fange?
TU N'AS PLUS VOCATION, VA T'EN DE LÀ!

Pauvre, je te le dis:
Aujourd'hui c'est fini.
Collabore au grand élan de ton pays.
Donne-lui ta sueur et tu en seras dit merci.
Donne à FRANCE ce qu'elle te donnait de son sein.
Autrefois tu riais, mais désormais c'est nous qui rit.
EN-VAS TOI LÀ OU ON VEUT BIEN DE TOI! (Mais ce n'est certainement pas chez moi.)

Pauvre, écoute moi:
ASCOLTA ME, LISTEN TO ME!
Ecoute le poète qui crie les mots-maux de son mentor:
"Dire aux hommes qu'ils se sont échoués
Qu'on peut refaire sa vie plusieurs fois
Sans un mot, recommencer
Se prendre en charge et pas charger l'état" (M.S. in "Allons danser")
Voilà pour toi, qui voulais vivre de chômage et d'eau douce,
Vivre la vie que tu ne méritais pas.
PAUVRE, TU ES UN CON, CASSE-TOI!
Et ça ira.