Vouuuuus! Qui salopez sans retenue la droiture de nos dirigeants par de sordides bruits de couloirs, des vents de caverne, dirais-je.
Vouuuuus! Qui apportez à la rapace race du gratte-paperasse pigiste et fouille-étrons le fruit talé de votre moribonde imagination, épris de détails grumeleux, tuant le bel et le pensé, le prévu, le planifié...
Vous! rats, crochus insectes bavards, flétrisseurs de vérité, combien d'honnêtes et de purs avez-vous repeints de votre merde? Combien d'emmaronnés par les égoûts de vos intestins buccaux?
Laissez les justes travailler et rendre ce monde vivable de plus de sécurité. Laissons nos grands administrer en paix. Laissez les vivre et se reposer lorsque le besoin s'en fait sentir. N'êtes-vous pas humains vous-mêmes?
mardi 1 mars 2011
MAIS COUPEZ VOUS LES CHEVEUX ET TAISEZ VOUS.
Hirsutes et crapoteux, mi-clochards et mi-terrands
Vous errez, minables, piteux et crachotant des chiques noirâtres en guise de mots.
Vous êtes perdus dans une nuit opaque et solide, la nuit de la pensée, tandis qu'à vos antipodes luit
Un soleil sans fin, polaire! L'astre massif de ma réflexion, tout puissant, mystérieux et profond.
Vos cheveux sont une insulte au monde des fibres.
De vos tignasses absconses, nul tapis, nulle beauté envisageables.
Ces serpillères graisseuses, collantes, qui glissent néanmoins entre les doigts me dégoûtent et m'indisposent.
Le mois de mai sera banni de mon calendrier, jeunes gens, car il a vu l'avènement de ce spectacle éprouvant,
Étranglez-vous avec ces perruques sordides et nous laissez enfin, dans la chaude lumière du Très-Haut
Jouir enfin de nos peignes et qu'alors vos immondes crins soient recyclés pour l'industrie de la Grande musique la seule que puis ouir
En de merveilleux archets qui feront vibrer les stradivarius en lieu et place de vos guitares hystériques
Vagissant la déliquescence avancée du monde en soutien des choeurs du diable que nos beaux enfants enfin remplaceront à leur tour
Chaussant la croix du charpentier, dans leurs merveilleux petits bermudas et coiffés, comme il se doit.
Vous errez, minables, piteux et crachotant des chiques noirâtres en guise de mots.
Vous êtes perdus dans une nuit opaque et solide, la nuit de la pensée, tandis qu'à vos antipodes luit
Un soleil sans fin, polaire! L'astre massif de ma réflexion, tout puissant, mystérieux et profond.
Vos cheveux sont une insulte au monde des fibres.
De vos tignasses absconses, nul tapis, nulle beauté envisageables.
Ces serpillères graisseuses, collantes, qui glissent néanmoins entre les doigts me dégoûtent et m'indisposent.
Le mois de mai sera banni de mon calendrier, jeunes gens, car il a vu l'avènement de ce spectacle éprouvant,
Étranglez-vous avec ces perruques sordides et nous laissez enfin, dans la chaude lumière du Très-Haut
Jouir enfin de nos peignes et qu'alors vos immondes crins soient recyclés pour l'industrie de la Grande musique la seule que puis ouir
En de merveilleux archets qui feront vibrer les stradivarius en lieu et place de vos guitares hystériques
Vagissant la déliquescence avancée du monde en soutien des choeurs du diable que nos beaux enfants enfin remplaceront à leur tour
Chaussant la croix du charpentier, dans leurs merveilleux petits bermudas et coiffés, comme il se doit.
mercredi 16 février 2011
Notaire, porte ta cravate et le monde tournera proprement.
"Seigneur, ne sois pas miséricordieux, car ils le méritent..." |
CRAVATE ! Tu es le saint des saints du cou des rois.
Toujours propre, toujours fière, sur le torse bombé des pères,
Sous les impers, tu épanouis l'oeil de l'esthète vestimentaire.
Je t'arbore sans me donner d'airs car tu rassures ma foi
En une société bien structurée où les amibes sociales fainéantes
Vont par les rues sans toi ni loi, vulgues bouches béantes
Toujours avides du franc d'autrui, généreusement dilapidé
Sur l'autel aride de l'hôtel de ville, ces impôts qu'imposteurs aidés
Et opportunistes flibustiers au jour le jour sucent sans rougir
Sur le dos de qui de droit qui s'élime la peau des doigts ou pire
Et s'échine à faire tourner la grand-roue motrice de la Patrie Chérie...
CRAVATE ! tu es... LE SANCTUAIRE de la bienséance et je te plains
Car au jour sombre qu'est aujourd'hui, crépusculaire et peu aryen,
Tant de gens jeunes se refusent à t'arborer, ostensible et vilain dédain
Combat d'adolescents si crassement inepte, si hideusement parés
De loques fétides, dépareillées et sacrifiées aux mites, bigarées
Enfants immondes qui aujourd'hui refusez le port de tête droit
L'allure superbe du porteur de beaux costumes spécialement taillés pour soi,
Matière fécale de mon pauvre pays où plus en rien quidams ne croient
Je te conjure et te prédis des lendemains lugubres et plein d'effroi
Où les nuées de sauterelles et les rivières charriant le sang
De pécheresses menstrues de putes et sidaïque plasma de taons
Invertis et dégénérés, piquant, suçant les fondements de leurs prochains
Feignant d'ignorer qu'ainsi se meurt la vie puisque plus guère transmise
Que dans le trou à merde des sous-hommes qui n'apportent rien au bon génome,
Ce jour radieux où s'abattra le ire suprême sur l'homme, sonnant le présent psaume,
Oui je l'attends, oui je désire ce cataclysme, car ainsi rase des scories
La belle table qu'est la Terre, ma Terre et point la vôtre, ce brun humus de vie
Verra germer encore et pour jamais, ces fiers chevaliers de la modernité en marche
Et dont le cap au menton devançant le nez trônera royalement sur le tissus des patriarches:
LA CRAVATE !
De ma tombe, un saint-homme pour qui la toute puissance de la FRANCE avait son importance, a trouvé les mots précis pour me sortir et insuffler à nouveau dans cette vieille carcasse asthmatique et couverte de plaques, le fluide de la vie. La très SAINTE SEMENCE.
JE VIS ! À nouveau mon écorce respire. J'ai vu le cercle lumineux tout au bout de la nuit que de noires figures damnées tentaient de me faire oublier. Mais DIEU n'a pas jugé utile de me garder en son sanctuaire éternel.
Votre serviteur se bat à nouveau à vos côté, jeunes bleus de sang, jeunes BLANCS de peau, jeunesrouges de cœur gisant.
Et si la Parque n'a su se résoudre à couper mon fil, je ne puis m'empêcher de croire que le Très-Haut avait ses raisons et que ses desseins à mon égards sont impérieux, prioritaires, uniques.
IL M'A ÉLU !
Le phœnix de la pensée françoise, après le Christ qui a remis son tablier par-delà les épines et les clous, ouvre à nouveau grand la bouche, au dam immense des droit-de-l-hommistes en armure qui pérorent mollement et à longueur d'eux-mêmes, tristes onanistes, au détriment des intérêts de la FRANCE.
Dans le tumulte sinistre et délétère de la bienpensance assistaniste, je brillerai, dévoué, le coeur pur, parmi moi et parmi vous, j'éveillerai les consciences à la liberté par la soumission.
JE VIS ! À nouveau mon écorce respire. J'ai vu le cercle lumineux tout au bout de la nuit que de noires figures damnées tentaient de me faire oublier. Mais DIEU n'a pas jugé utile de me garder en son sanctuaire éternel.
Votre serviteur se bat à nouveau à vos côté, jeunes bleus de sang, jeunes BLANCS de peau, jeunes
Et si la Parque n'a su se résoudre à couper mon fil, je ne puis m'empêcher de croire que le Très-Haut avait ses raisons et que ses desseins à mon égards sont impérieux, prioritaires, uniques.
IL M'A ÉLU !
Le phœnix de la pensée françoise, après le Christ qui a remis son tablier par-delà les épines et les clous, ouvre à nouveau grand la bouche, au dam immense des droit-de-l-hommistes en armure qui pérorent mollement et à longueur d'eux-mêmes, tristes onanistes, au détriment des intérêts de la FRANCE.
Dans le tumulte sinistre et délétère de la bienpensance assistaniste, je brillerai, dévoué, le coeur pur, parmi moi et parmi vous, j'éveillerai les consciences à la liberté par la soumission.
jeudi 3 février 2011
Marcel, ton nom brûle de la flamme à trois couleurs!
Marcel!
Marcel je te dis DA!
Car tu n'es pas sot!
Marcel je te dis DA!
Car tu n'es pas sot!
Et nous fermâmes les usines à MORT.
Un oiseau de proie, noir et loqueteux, immense comme un ciel d'hiver et de plomb, planait depuis déjà 33 ans sur les consciences coupables du pays. Et comme l'age du Christ a toujours un sens, cet infâme nuée de malheur, inquiétante, acérée, coassante verra bientôt la lance de Saint Georges tremper son cœur de rapace volaille.
Les usines de la mort quadrillaient ce monde innocent, le rendant COUPABLE de ses yeux clos, COUPABLE de pogrom. Planifiée, la mort avait mandaté vos représentants devant la loi de sa rampante et perfide besogne. Nous tuions par le silence ces enfants dont les mères cruelles et fainéantes confiaient la première lueur de vie aux mains crochues des faiseuses d'anges du planning. Les pharmaciens eux-mêmes se sont pliés à cette règle infâme: TUER LE FŒTUS ! Leur maléfique chimie rongeait son chemin vers les œufs frais des malheureux y instillant la Camarde moléculaire au ventre-même des salopes infinies qui PAR CAPRICE leur fermaient à ce monde la simple porte.
Le planning familial, comme son nom l'indique implicitement est la taylorisation de la mort des purs. On y détruit les familles, les espoirs et les germes premiers de la VIE.
HOMME ! Par quels sentiers boueux as-tu osé te perdre et noircir ton âme?
Les usines de la mort quadrillaient ce monde innocent, le rendant COUPABLE de ses yeux clos, COUPABLE de pogrom. Planifiée, la mort avait mandaté vos représentants devant la loi de sa rampante et perfide besogne. Nous tuions par le silence ces enfants dont les mères cruelles et fainéantes confiaient la première lueur de vie aux mains crochues des faiseuses d'anges du planning. Les pharmaciens eux-mêmes se sont pliés à cette règle infâme: TUER LE FŒTUS ! Leur maléfique chimie rongeait son chemin vers les œufs frais des malheureux y instillant la Camarde moléculaire au ventre-même des salopes infinies qui PAR CAPRICE leur fermaient à ce monde la simple porte.
Le planning familial, comme son nom l'indique implicitement est la taylorisation de la mort des purs. On y détruit les familles, les espoirs et les germes premiers de la VIE.
HOMME ! Par quels sentiers boueux as-tu osé te perdre et noircir ton âme?
dimanche 25 avril 2010
Le Comte De Rinchy, grand promoteur de la francisque, vous offre cette intervention exclusive.
Monsieur le Comte de Rinchy, Chevalier de la Croix de Lorraine et du Saint Sépulcre de la Mollette à Vérins, Soyez 1000 fois remercié et la Comtesse Maïa de Roger IV de Russistan, votre sublime épouse à son tour pour sa précieuse et compréhensive complicité.
Des Femmes.
Des Femmes.
lundi 12 octobre 2009
La pantalonade.
Elles sont grandes ouvertes les paupières.
Les paupières de la technique moderne.
On ne peut plus se parler comme on l'entend
Car derrière soi les gens sont devenus des murs.
Or on le sait, chaque petit homme le sait:
Les murs ont des esgourdes qui écoutent.
Les gens, puisqu'il n'y a plus de valeurs,
Ont choisi de nuir, ont choisi de fuir, ont choisi de bruire, ont choisi...
DE DÉTRUIRE!
Un à un, nos hommes, nos grands, nos valeurs, nos idées, nos soupirs
Sont filtrés, sont tordus, sont triés, sont relus, déformés, dégorgés puis vomis.
Les téléphones, les voyous de demain, sont à l'affût.
Ils vampirent les mots des gens et les vendent au plus offrant.
Brice. Nadine. Patrick. Nicolas. Jacques. Alain. Rachida... TOUS !
On vous a roulés dans la fange en regardant par l'œilleton déformant,
On vous a chié sur le discours, on vous a déchiré vos beaux habits,
On vous mis à nu dans une piscine de jus de poubelle.
Il faut détruire les murs pour que soient les oreilles sourdes.
Autrefois, le progrès rendait les sauvages heureux, fiers, nobles, en un mot "français".
Autrefois le progrès était porteur d'espoirs sublimes et libérait les peuples.
La modernité faisait l'Homme aller plus vite, aller, aller, aller. ET LOIN ET LARGE ET FORT!
Mais le progrès a régressé, oui. Cet outil de calomnie, utile aux pédophiles, aux rétrogrades.
Demain se meurt, Messieurs! Demain gigote et crève comme on le transperce
L'épée de feu, rouge et rouille, celle du démon et des hordes de tous les cercles de l'enfer,
Défouraille l'honneur, la beauté, l'albatre de notre monde dont les râles sont le signe
Du dernier spasme.
Les paupières de la technique moderne.
On ne peut plus se parler comme on l'entend
Car derrière soi les gens sont devenus des murs.
Or on le sait, chaque petit homme le sait:
Les murs ont des esgourdes qui écoutent.
Les gens, puisqu'il n'y a plus de valeurs,
Ont choisi de nuir, ont choisi de fuir, ont choisi de bruire, ont choisi...
DE DÉTRUIRE!
Un à un, nos hommes, nos grands, nos valeurs, nos idées, nos soupirs
Sont filtrés, sont tordus, sont triés, sont relus, déformés, dégorgés puis vomis.
Les téléphones, les voyous de demain, sont à l'affût.
Ils vampirent les mots des gens et les vendent au plus offrant.
Brice. Nadine. Patrick. Nicolas. Jacques. Alain. Rachida... TOUS !
On vous a roulés dans la fange en regardant par l'œilleton déformant,
On vous a chié sur le discours, on vous a déchiré vos beaux habits,
On vous mis à nu dans une piscine de jus de poubelle.
Il faut détruire les murs pour que soient les oreilles sourdes.
Autrefois, le progrès rendait les sauvages heureux, fiers, nobles, en un mot "français".
Autrefois le progrès était porteur d'espoirs sublimes et libérait les peuples.
La modernité faisait l'Homme aller plus vite, aller, aller, aller. ET LOIN ET LARGE ET FORT!
Mais le progrès a régressé, oui. Cet outil de calomnie, utile aux pédophiles, aux rétrogrades.
Demain se meurt, Messieurs! Demain gigote et crève comme on le transperce
L'épée de feu, rouge et rouille, celle du démon et des hordes de tous les cercles de l'enfer,
Défouraille l'honneur, la beauté, l'albatre de notre monde dont les râles sont le signe
Du dernier spasme.
mardi 29 septembre 2009
J'aurais voulu être un Général...
Général... Le galon-roi...
Ca se mérite, "Général", c'est une vie qu'on a donnée
À son pays, à clarifier
À LIBÉREER...!
J'aurais voulu être Général après le combat de ma vie
Après avoir souffert tout-ça, 81, l'horreur.
Mes hurlements dans le désert...
J'aurais pu, j'aurais dû être Général,
Un de ces hommes qui gueulent du regard
Sans nul besoin d'ouvrir le visage
Un de ces rapides, subtiles, habiles, même en civil
Aux actions claires mais secrètes...
TOUT ENTIER TENDU VERS LA maîtrise de soi.
J'aurais voulu être Général, j'y aurais eu droit.
Homme, tu as besoin d'un décideur, toujours
Il y a dans tes cellules, le besoin de la fourmi
D'obéir à ta famille, à ton groupe, à ton tout.
J'aurais aimé commander à des héros,
Soumettre ce que ce monde compte de salauds
Qui grincent aux écoutilles de notre paquebot,
Rampant, chuintant, zézayant les langues de Babel
Qui refusent de s'ordonner, qui refusent de laisser
Le Français tel qu'il a toujours été!
J'aurais défendu tes frontières, famas au poing
France de souffrance mais de persévérance,
J'aurais fièrement défilé devant tes enfants dans l'estrade
Jumelles à l'œilleton, curieux les petits Hommes,
Comme je l'ai fait alors, lorsqu'Alger était sœur de Marseille,
Lorsque mon cœur d'enfant battait devant autant
De beaux Hommes aux suberbes uniformes, Ahh!
J'aurais dû, sûrement, dans mon corps, mon âme, je le sens
J'aurais été un Général merveilleux et fier.
vendredi 28 août 2009
SATAN A LES CHEVEUX LONGS
Satan a les cheveux sales et gras, il pue.
Satan était sur les barricades.
Satan est pour l'augmentation des impôts.
Satan souhaiterait l'abolition des frontières.
Satan porte entre ses crocs un coutelas de facture soviétique.
Satan fume et crois-moi pas que le tabac.
Satan boit également de nombreux poisons lents.
Satan prône le port du préservatif et tue les foetus avec une aiguille.
Satan s'amuse de ce qu'on puisse souhaiter le retour de la peine capitale.
Satan était là en 36, au milieu des ouvriers
Satan est pédé, c'est un fait, et offre son cul au premier venu.
Satan méprise le nombre d'or et aime le désordre peint.
Satan rapetisse les grands et donne la parole aux déchets humains.
Satan poursuit les investisseurs et les preneurs de risque.
Satan veut détruire ce beau pays dont il n'est pas.
Satan est étranger! SATAN EST AFRICAIN! SATAN EST MUSULMAN!
Satan nourrit les moins méritants avec la corne d'abondance française.
Satan est contre le progrès et les machines à voter.
Satan porte des jupes et crache dans les rues, il est écossais.
Satan abolira, si nous n'y prenons garde, la propriété, le bon-sens, le sou honnêtement gagné.
Satan mélange le bon grain et l'ivraie et rend le blanc marron.
Satan est intermittent du spectacle et pioche largement dans la caisse.
Satan n'a pas le regard vif, il rechigne à travailler.
Satan est fénéant et lâche, il se cache en temps de guerre.
Satan ne défend aucune patrie, aucune Nation, il complote.
Satan prétend que la colonisation a fait du mal aux sauvages qui n'avaient pas de routes.
Satan ne libère aucun otage, il ne libère qu'Action Directe.
Satan libère aussi les pédophiles et les blousons noirs.
Satan donne aux enfants, dés la naissance, les chromosomes de la violence.
Satan aime l'idée que se fait Staline de la France et du monde.
Satan malmène les pieux et les flics et donne aux enfants des armes, des cailloux.
Satan, dans son antre, maudit entre tous, rêve méchamment de chaos, de parjure, de hideur.
Satan, au cœur malade est aigre, ne sait que geindre et se lamenter.
vendredi 21 août 2009
Artrirsrtre
COCHON DE TOI!
Mais qui t'a permis?
Est-ce un métier que celà? HEIN?
Tu mets des mots dans ton petit cahier et tu les estimes agencés?
QUI - T'A - PERMIS, NOM DE DJIEU?
Tu fais des boulettes avec tes crottes de nez sur un pupitre encadré de néons, et voilà?
VOILÀ? VOILÀ? TU DIS "VOILÀ"?
Tu joues de la corde de fer sur des rythmes de singe et c'est là du Wagner?
QUI T'A DONNÉ LE NOM D'ARTISTE? QUI A OSÉ?
Tu salopes sans rougir des pans entiers de l'histoire de l'Homme et tu souris?
TU SOURIS BÉATEMENT, SALOPARD?
Tu mets trois acteurs sur des planches et leur fais babouiner en yahourt et tu attends qu'on se pâme?
TU VOUDRAIS QU'ON T'APPLAUDISSE, DE SURCROÎT?
Tu gribouilles avec la merde de ton corps et il faudrait t'appeler Ingres?
TU TE RÉCLAMES DES CUBISTES, QUI FONT ENCORE RIRE LES ESTHÈTES?
Saltimbanque de petite envergure, BATS-TOI! Viens-voir l'artiste qui t'insulte avec ses viscères
Viens voir ce que Pal peind et lire ce que Jean te hurle à la gueule de sa plume de couleurs
Viens écouter ce que Mittel te dit dans ses chansons ÉCRITES, elles! par un Hugo populaire
Je t'exorcise, tu n'as pas de talent, petit salaud, petit dégueulasse sans morale oculaire
MAIIIIIIS LE JOUR EST LÀ, ENFIN, où tes élucubrations gesticulatoires prennent fin
Tes singeries lamentables seront érrrrrradiquées par la LOI, et jetées au vomitorium de la Kulture
Je m'y engage.
jeudi 20 août 2009
Les assassins
Tapi dans le mucus d'une ombre poussiéreuse
Rampant, abstrus à l'oeil de tes victimes
MAIS PAS À CELUI DE CELUI QUI T'A DONNÉ UNE ÂME!
Tu fomentes parmi les rats et les mendiants
Quelque mauvais coup stupide et éclatant
Tu te nourris des pires lectures dans la nuit des incultes
Tu te caches, fourbe et misérable lâche, dans les buis
MAIS PAS DEVANT LUI QUI T'A OFFERT DE VIVRE!
Le terrorisme coule en ton plasma depuis le placenta
Tu es né sous le signe de la haine rouge et du coutelas
Car tes aïeux devaient eux-mêmes autrefois déjà
Menacer la nation de leurs projets obscurs de cancrelats
MAIS IL TE VOIT, IL TE REGARDE ET IL TE JUGERA!
En ton potager ne poussent que les bombes et les clous
Ton épicerie ne vend que propagande et feuilles de chou
Tes idéaux de pacifiste te poussent à casser les caténaires
Le bien sacré de la Nation qui t'a nourri, pauvre fou
MAIS TU EXPIERAS MILLE FOIS TES FAUTES DANS SES BRAS!
Je ne sache pas qu'on puisse être plus dangereux
Que tous ces cafards qui ululent dans les bas quartiers
Où vivent, sales, dégingandés et en guenilles
Les êtres faibles, jaloux et veules qui préfèrent geindre
AU LIEU DE PRIER POUR UN SALUT DANS L'AU-DELÀ!
Au lieu de prendre le sort par les couilles pour défier
La pauvreté et la pitié droit dans les yeux, tel le taureau
Vos idéaux de saltimbanques soixante-huitards
Rendraient ce pays exsangue et sidaïque, haineux de soi
MAIS DIEU VOUS CHASSE PAR MON VERBE, SCÉLÉRATS!
Vous ne craignez rien plus que la lumière et le poète
Vous ne valez guère mieux que les toilettes de mon valet
Avec vos vies de paysans et vos veines avides de shit
Brûlez dans la terre de vos villes de province, petits riens
CAR SON DOIGT DROIT DE ROI TROUERA VOS CRÂNES PLATS!
mercredi 19 août 2009
Que c'est beau deux femmes...
Deux belles putains
Jeunes et petites
Si mignonnes dans leur habit de joie
Qui se touchent, se dégustent
Deux belles garces
Qui savent donner
À l'Homme qui leur a commandé
Le spectacle qu'elles savent offrir
Deux douces femmes
Fragiles et lisses
Comme seules les femmes
Le savent être
Se faisaient à l'une
Se faisaient à l'autre
Plaisir pour le plaisir
Le leur et le mien
Se retrouvaient nues
L'une dans l'autre
L'une sur l'autre
Pour nourrir mes yeux
Elles se savouraient
Elles se nourrissaient
Regardaient leur Homme
Bien droit dans les yeux
Tandis que leurs doigts
Enclins à se mouiller
Tandis que leurs bouches
Agiles et jouisseuses
Tandis que la vie
Tout au fond d'elles deux
Faisaient en bas de moi
Venir le dur qui nourrit les ventres
Ah! Hahhh... Ahhhm...
Jeunes filles si putes
Par mon Dieu si bien peintes
Donnez-moi le final
Jeunes et petites
Si mignonnes dans leur habit de joie
Qui se touchent, se dégustent
Deux belles garces
Qui savent donner
À l'Homme qui leur a commandé
Le spectacle qu'elles savent offrir
Deux douces femmes
Fragiles et lisses
Comme seules les femmes
Le savent être
Se faisaient à l'une
Se faisaient à l'autre
Plaisir pour le plaisir
Le leur et le mien
Se retrouvaient nues
L'une dans l'autre
L'une sur l'autre
Pour nourrir mes yeux
Elles se savouraient
Elles se nourrissaient
Regardaient leur Homme
Bien droit dans les yeux
Tandis que leurs doigts
Enclins à se mouiller
Tandis que leurs bouches
Agiles et jouisseuses
Tandis que la vie
Tout au fond d'elles deux
Faisaient en bas de moi
Venir le dur qui nourrit les ventres
Ah! Hahhh... Ahhhm...
Jeunes filles si putes
Par mon Dieu si bien peintes
Donnez-moi le final
mardi 18 août 2009
La conjuration des fécès.
Il est fini ce temps-là
Où tous les cancrelats
Les rebuts et les difformes
Qui criaient à la réforme
Au droit à enfanter
Dans un monde enchanté
Avaient pignon sur rue
Et se pavanaient comme des grues
UN PÉDÉ N'A PAS DE MATRICE, MESSIEURS
UN PÉDÉ CA SE SOIGNE À L'HOPITAL, MON DIEU
UN PÉDÉ C'EST À L'ARMÉE, BIEN ENCADRÉ
UNE PÉDALE CA TUE PAR INFÉCONDITÉ
LE MONDE QUI SE MEURT DÉJÀ ASSEZ
POUR QU'ON N'AIE BESOIN D'UN PEU PLUS L'ASSASSINER!
Il est fini ce temps laid
Qui a vu les jupes remplacer
Nos viriles coutures de braies
Et l'inverse aussi s'est fait
FINI, Messieurs les dames
Nous sauverons vos âmes
De l'effroi de Mère Nature
Seul l'hymen sied à vos vîts
Ne comptez pas goûter aux joies
De la vie de Famille, POUAH!
Je spasme de dégoût car je vous vois,
Mon imagination est grande
Elle sent chaque immonde coup
Chaque révoltant bisou
ELLE REND! JE RENDS! RENDEZ-VOUS!
Vos tortillis d'invertis qui gloussent
Des mots de rombières rousses
Dégoûtent le règne animal
Qui a su, lui, rester normal
Vous n'êtes pas des bêtes, loin de là,
Vous êtes leur crottin, voilà!
VOUS ÉCŒUREZ L'ENFANT
TOUT FAIBLE AU CŒUR BATTANT
QUE VOUS CONVOITEZ SÉANT
VOUS RÉVOLTEZ LES VRAIS PARENTS
QUI SE BATTENT CHAQUE JOUR
POUR OFFRIR AU FRUIT DE L'AMOUR
L'ÉDUCATION ET LA MESURE
QUI REND LES HOMMES PURS!
SOYEZ CRACHÉS, BUBONIQUEMENT!
DANS LES TRÉFONDS ARDENTS
DE LA GÉHENNE POUR VOS AFFRONTS
À LA LOGIQUE DU MONDE BON.
Où tous les cancrelats
Les rebuts et les difformes
Qui criaient à la réforme
Au droit à enfanter
Dans un monde enchanté
Avaient pignon sur rue
Et se pavanaient comme des grues
UN PÉDÉ N'A PAS DE MATRICE, MESSIEURS
UN PÉDÉ CA SE SOIGNE À L'HOPITAL, MON DIEU
UN PÉDÉ C'EST À L'ARMÉE, BIEN ENCADRÉ
UNE PÉDALE CA TUE PAR INFÉCONDITÉ
LE MONDE QUI SE MEURT DÉJÀ ASSEZ
POUR QU'ON N'AIE BESOIN D'UN PEU PLUS L'ASSASSINER!
Il est fini ce temps laid
Qui a vu les jupes remplacer
Nos viriles coutures de braies
Et l'inverse aussi s'est fait
FINI, Messieurs les dames
Nous sauverons vos âmes
De l'effroi de Mère Nature
Seul l'hymen sied à vos vîts
Ne comptez pas goûter aux joies
De la vie de Famille, POUAH!
Je spasme de dégoût car je vous vois,
Mon imagination est grande
Elle sent chaque immonde coup
Chaque révoltant bisou
ELLE REND! JE RENDS! RENDEZ-VOUS!
Vos tortillis d'invertis qui gloussent
Des mots de rombières rousses
Dégoûtent le règne animal
Qui a su, lui, rester normal
Vous n'êtes pas des bêtes, loin de là,
Vous êtes leur crottin, voilà!
VOUS ÉCŒUREZ L'ENFANT
TOUT FAIBLE AU CŒUR BATTANT
QUE VOUS CONVOITEZ SÉANT
VOUS RÉVOLTEZ LES VRAIS PARENTS
QUI SE BATTENT CHAQUE JOUR
POUR OFFRIR AU FRUIT DE L'AMOUR
L'ÉDUCATION ET LA MESURE
QUI REND LES HOMMES PURS!
SOYEZ CRACHÉS, BUBONIQUEMENT!
DANS LES TRÉFONDS ARDENTS
DE LA GÉHENNE POUR VOS AFFRONTS
À LA LOGIQUE DU MONDE BON.
vendredi 14 août 2009
Catholique.
OUI!
OUI!
OUIDA!
Catholique je suis!
Bien des barbares hirsutes ont tenté à leur tour
De convertir le monolithe d'airain Jean Poultre
A Dieu sait quelles foutaises polythéistes ou schismatiques
Aux noms d'idoles grimaçantes et pathétiques
Mais je reste DROIT et point ne ploie
Sous les assauts répétés de ces pitres sans aura
Je suis incorruptible, ne sais-tu celà?
Toi qui fomentes mon apostasie,
Tapi dans l'ombre de sordides souks d'Asie
Tes yeux affûtés d'assassin suivent ma geste
Envieux et lorsque la nuit s'abat, leste
Sur les mystérieuses contrées de l'Est
Et que tes femmes préparent le sorgo de tes ancêtres
Tu rêves de me voir éructer à tes côtés
Tes misérables prières mauresques et
Salamalecs qu'aucun humain savant
N'oserait décemment salir ses dents
A prononcer comme tes muezzins stridents
Tu gesticules et tu glapis, dans ton sommeil crétin
Tu baves, tu enrages, car tu me sais inflexible,
Tu me vois lisse et irradiant de mille photons
Tu me sais rétif à tes sacrifices de moutons
A ces sornettes dont les bienfaits de la modernité
N'ont pas encore, pauvre de toi, su te laver.
L'Homme, un jour, sera tous Catholiques!
L'Homme ne craindra que le vrai Dieu
Et c'est celui de la souffrance christique
Qui nous inonde de la lumière des pieux.
Va, barbaresque, rase ta barbe et jette ton turban
Car à ce jeu-là, tu sais que tu seras perdant.
Viens à moi et prends l'hostie que Yahweh te tend.
IL saura te pardonner ce mal ancien
Qui fit de toi autrefois un animal sans biens.
vendredi 10 juillet 2009
l'Homme-soc.
Tu cherches tes racines, loin dessous les pierres
Tu retournes ta terre humide avec ta tête en fer
Tu as mal car tout autours les glaires
Des glaires nouvelles d'hommes d'ailleurs libèrent
Le nouveau sida du monde qu'on dit nécessaire
Mais que toi, travailleur côtoyant les vers
Tu devines comme étant pire que l'hiver nucléaire
Tu te sais condamné à mourir en pauvre erre
Le cul déployé, exposé au grand air
Si point ne te soulèves et fourche brandis contre l'enfer
Et hors ton champs bouter ces barbares berbères
De tes terres, je t'y exhorte, bel Homme et fier
Deviens enfin le puissant cerbère
Comme autrefois par le sang tes pères
Surent se défendre malgré leur pain de misère.
Tu retournes ta terre humide avec ta tête en fer
Tu as mal car tout autours les glaires
Des glaires nouvelles d'hommes d'ailleurs libèrent
Le nouveau sida du monde qu'on dit nécessaire
Mais que toi, travailleur côtoyant les vers
Tu devines comme étant pire que l'hiver nucléaire
Tu te sais condamné à mourir en pauvre erre
Le cul déployé, exposé au grand air
Si point ne te soulèves et fourche brandis contre l'enfer
Et hors ton champs bouter ces barbares berbères
De tes terres, je t'y exhorte, bel Homme et fier
Deviens enfin le puissant cerbère
Comme autrefois par le sang tes pères
Surent se défendre malgré leur pain de misère.
Jeune, ploie!
Ta nature est révolte.
Ta voix est criarde.
Ton visage déplaisant.
JEUNE, TAIS CE COASSEMENT!
Tu souhaites le désordre.
Tu masturbes le mal.
Tu désires les invertis.
JEUNE, TAIS TA GUEULE!
Tu détestes tes anciens.
Tu ne laves pas ton corps.
Tu ne laves que ta conscience.
JEUNE, SOIS MAUDIT!
Tu voudrais ne point vieillir.
Tu voudrais foutre le feu.
Tu louches salivant sur le chômage.
JEUNE, TU N'AURAS PLUS UN SOU!
Tu ne sais que détruire.
Tu ne sais que violer.
Tu ne sais que droguer ton nez.
JEUNE, SOIS COMME J'ÉTAIS MOI!
Tu as bien le temps de croire
En ces rêves utopiques
Que t'inculquent les menteurs,
JEUNE, TU SERAS UN JOUR DE DROITE!
Allons, jeune-homme,
Cesse de perdre ce temps précieux
Car tu peux redevenir pieux
JEUNE, REJOINS LES FORCES VIVES!
Tout un monde s'offre à toi
Toute une vie de rigueur, de joie
Tous tes sens en émoi
JEUNE, SI PLOIES JE SERAIS LÀ!
Reviens-moi, jeune plein de force
Mets tes voiles au vent de Dieu
Mets ta voix dans la bonne urne.
JEUNE, ECOUTE LA VOIX DE PAPA!
jeudi 9 juillet 2009
Retranscription d'une interview donnée aux pages Culture du Figaro.
Le figaro, 1996, interview de Jean Poultre menée de main de maître par le rédacteur Louis Pauwels.
LP: Monsieur Poultre, vous connai...
JP: Ne soyez pas si cérémonieux, Louis. Nous nous connaissons depuis... quoi? plus de 12 années! Vous m'avez connu enfant, ce ton immédiatement élogieux me met mal à l'aise, je ne suis qu'un Homme, mais avant tout votre ami.
LP: (rire décontracté) (rire amical) (rire complice) (rire) (accolade) (fous-rires entendus) Vous êtes si honnête, si proche des Hommes, Jean mon vieil ami! "Camarade" serait une injure, vous désignant, mais je crois en effet que nos destins sont étroitement intriqués.
JP: Vous êtes un père pour ce pays, un visionnaire exceptionnel.
LP: Allons ne perdons pas de temps en congratulations inutiles. "Temps est argent", disait le philosophe. Jean Poultre, vous connaissez mon aversion pour les faibles, ces êtres hirsutes affublés de guenilles grises et dépareillées, toujours enclins à la complainte. Dans votre travail, il s'agit là d'un thème tout à fait central.
JP: L'Homme est deux. Il se sait faible et insécure. Il connaît les fauves qui rôdent à l'entour de son feu de camps. Il connaît le risque de vivre. Mais il sait aussi que ses mains, sculptures de Dieu, parfaites et tout-entières tendues vers la domination de l'espace-nature, il sait qu'elles sont le remède à sa douleur, à son éternelle soumission. Une sorte de parapluie contre la violence du monde sauvage. Et il les brandit! Il les montre, ses paumes faisant face aux cieux du Seigneur.
Donnez à l'Homme la volonté, il saura créer son propre trône, de ses mains.
Donnez à l'Homme une vision et il saura voir dans l'avenir, de ses mains.
Dans mon travail, modeste mais déterminé, je me propose de donner aux gens, même aux plus simples, une voie lumineuse. Un chemin flèché vers la Nation en tant que ciment et famille.
Je ne supporte pas les assistés, ces pleurnicheuses efféminées que sont les pauvres. Pour vous citer: "Les faibles ont des problèmes. Les forts ont des solutions." Voilà le crédo qui agite cette flamme qu'est mon art.
LP: Parlez-nous des femmes. Qui sont-elles? Où vont-elles en cette veille d'An 2000?
JP: La femme est un objet étrange. Des profondeurs de la nuit, depuis des temps animaux, nous ne comprenons cette créature jaillie du feu. Voyez ses cheveux: FEU! Voyez cette beauté, excessive, cette propention aux sanglots: FEU! Néanmoins, la femme mérite notre admiration. Elle enfante et donne à ce monde qui menace en permanence de s'effondrer, une continuité. Un fil.
La femme est de tous temps le temple de la vie. Dieu l'a créée belle et fragile. Et voici le piège. Il s'est refermé très tôt sur nous-autres. Il fallait bien que l'Homme donne son semi. Que l'Homme offre la vie à la Vie. Il fallait bien qu'entre chasse et peinture, il s'intéresse à ces dames. Alors Dieu l'a faite belle et par-là-même: DÉSIRABLE, oui. Mais ce n'est pas là une qualité.
Ecoutez une musique. Ses méandres subtiles, carressant l'âme, sa douceur, sa légèreté ou sa tristesse vous feront gémir, le front plissé, vous anéantiront d'émotion. Mais une fois le disque terminé, le rideau baissé sur vos tympans, que reste-t-il? Le silence. La musique n'existe pas, elle est une vibration abstraite et impalpable. Elle n'est utile qu'en ce qu'elle se joue. L'instant d'après, je retourne au flux de mes pensées. Eh-bien les femmes, c'est la même-chose. Les femmes ont une valeur instantanée lorsque la vie exige de nous son tribut. Lorsque la vie nous intime l'ordre de la perpétuer.
Certaines militantes du beau-sexe tentent souvent (et celà va croissant aujourd'hui, pour le meilleur mais surtout pour le pire) de singer l'Homme. Elles prétendent avoir une vision, des idées. Mais voyez le résultat lorsque ces dames prennent leur destin en main et se dégagent de l'emprise nécessaire de leur protecteur par nature: Voyez Simone Veil! Les charniers fleurissent sous ses pieds! Des millions d'âmes fauchées au bout du cordon maternel. Je ne vois aujourd'hui en Occident qu'une plaine sinistre couverte de la viande hachée de malheureux fœtus à qui l'on n'a su donner leur chance.
LP: L'immigration sans cesse croissante est un fléau que vous abordez aussi abondamment au fil de votre prose. La mixité, l'égalitarisme, la "mosaïque maoïste" comme vous la nommez, cette nébuleuse effrayante qu'est l'appauvrissement des gènes par le métissage. Tous ces thèmes qui n'ont pas échos par les temps qui courent, vous les abordez avec courage, pour contrecarrer l'hypocrisie ambiante.
JP: Ah! L'étranger! Toutes ces contrées sauvages et belles. Ces étendues de forêts, de mers et d'herbe grasse et nourrissière! Pourquoi fuir un monde si parfait? Je veux dire: biensûr que les campagnes de mon pays sont belles et désirables. Celà, je le conçois. Biensûr que ses fromages, ses pains de mie, son soleil modéré et puis l'odeur de ses cafés ont quelquechose de magique pour les sens d'un non-FRANCAIS. Tout celà, je l'entends parfaitement: Moi-même lorsque je vois dans mon poste de télévision combien les tagines du Maroc semblent savoureux, les bananes de Guinée me font rêver, les noix de coco désaltérant mon oeil gourmand, et ces étendues de riz, vert tendre, quelle promesse inouïe d'accompagner avec brio la blanquette de ma mère-grand. Mais m'avez-vous jamais vu courir en tous sens et brandissant une main en coupelle à chaque pélerain que j'y croiserais, dans ces contrées éloignées et à mille lieues de notre civilisation moderne pour demander "s'al vos plit missiou, dounni-moi di kebab!" ou "t'il bous blaît patlon, dodde à boi des bons bo-bun!" ? Vous imaginez un peu? Si tout le monde sous le prétexte qu'un ailleurs idéalisé par le rêve ou par le petit écran, exotique en diable, évidemment, s'en venait à faire la manche au crochet de son voisin de planète? Je ne sache pas que le concept de frontière ait été créé pour les martiens ou les bêtes, enfin! Et ces petits enfants affamés ne le sont que parceque leurs parents ont choisi pour les administrer des bandits ou de sinistres socialistes qui ne jurent que par l'égalité des sexes et des races et allez savoir encore quelles autres inepties tout juste bonnes pour les écervelés en mal de théories darwinistes improbables et unanimement approuvées malgré leur manque évident de solidité scientifique.
Chacun est né sous un ciel différemment étoilé et sur le ventre d'une mère nourrie de baies endémiques à son terroir propre. Il serait temps de comprendre que les pays savants ne sont pas l'Eglise! Nos ancêtres ne se sont pas battu contre les maures, les normands, les huns et autres vandales et n'ont pas préservées leurs terre de la désolation pour s'en voir spoliés au bout du compte sous le prétexte que nos voisins ne savent maîtriser leurs pulsions animales! Certainement pas!
La mixité, enfin, est le terreau vaseux de la dégénérescence, reconnaissons-le! Tous ces pseudo-intellectuels qui se réclament de l'esprit des lumières, ces affreux scribouillards avides de cocktails et de religions new-age, ensalonés et drogués jusqu'au bout des veines, s'ils souhaitent salir le cadeau divin que sont leurs gènes en les mêlant à ceux de la première mûlatre venue, je vous le demande, pourquoi voudraient-ils nous imposer ce suicide culturel? Quel est ce prosélitisme sexuel impossible? Eh-bien nous savons où se terrent ses racines et dans les écrits de quels imposteurs il a vu le jour. Inutile de les nommer. Leurs noms de famille nous donnent instantanément quantité d'information sur leurs origines religieuses et par-là même, raciales.
Les lapidateurs du Christ sont toujours là et leur programme est aussi limpide que leur sang est trouble puisque mêlé à celui d'autrui.
Est-ce que ce monde est sérieux? Est-ce là ce que nous voulons? Demandez à votre femme de ménage si elle souhaite que ses enfants soient musulmans ou taoïstes ou mieux encore: un savant mélange des deux, vous verrez bien quel accueil elle vous réserve.
PL: À l'instar de nombre de collaborateurs de cette rédaction, vous êtes très proche des hautes sphères du RPR et plus généralement du tissus politique complèxe qui compose la droite française dans toute sa diversité. On vous a souvent reproché ces accointances malgré votre grande honnêteté et le fait que vous ne vous en soyiez jamais caché.
JP: Je ne suis pas un théoricien. Je vis pour voir. Je vois à travers l'Esprit, la matière, le temps... Par le biais de l'Art, je vois les choses invisibles et je les extirpe de la nuit où elles se cachent. Toute cette matière brute, je la donne en cadeau à d'autres, tous azimuts, tel un geyser qui par ma plume abreuve les esprits. Après moi et les gens de ce bois dont je suis fait et que je veux bien partager avec mes semblables, d'autres dont le rôle est plus technique, plus théorique pourront mettre en forme ce magma d'idées. Je n'ai pas la prétention de savoir structurer une pensée brute. Je me vois plus comme une sorte de médium courageux et implacable. (rires)
Je suis un artiste, je ne fais pas de politique. Néanmoins, il se trouve que je ne me sens compatible qu'avec une certaine qualité d'Hommes. Et ces Hommes de valeur ne se trouvent pas sous le sabot d'un cheval de trait. Parmi les grands esprits qui composent le monde politique, seuls les grands patriotes trouvent grâce à mes yeux. Et ces patriotes ne sont plus légion dans les rangs complexés, constipés, étriqués de la gauche parlementaire. Et je ne vous parle même pas de ces internationalistes pathétiques et criminels que sont les communistes et autres apôtres du terrorisme le plus sauvage. Je suis un homme de son pays, qui crie de douleur lorsque sa terre souffre. Et légions sont ceux qui, dans l'aile droite du paysage politique FRANCAIS partagent ce ululement de détresse. La France est née dans le sang et la douleur. Elle a dû sacrifier bien des âmes courageuses pour devenir ce joyaux indiciblement rayonnant. Et nous sommes là pour défendre sa pureté cristaline contre les assauts de la poussière ambiante. Tout comme votre femme de ménage prend soin de la propreté de vos latrines ou de la netteté de vos rayonnages. (rires)
...suite de cette interview demain, sur cette même page.
LP: Monsieur Poultre, vous connai...
JP: Ne soyez pas si cérémonieux, Louis. Nous nous connaissons depuis... quoi? plus de 12 années! Vous m'avez connu enfant, ce ton immédiatement élogieux me met mal à l'aise, je ne suis qu'un Homme, mais avant tout votre ami.
LP: (rire décontracté) (rire amical) (rire complice) (rire) (accolade) (fous-rires entendus) Vous êtes si honnête, si proche des Hommes, Jean mon vieil ami! "Camarade" serait une injure, vous désignant, mais je crois en effet que nos destins sont étroitement intriqués.
JP: Vous êtes un père pour ce pays, un visionnaire exceptionnel.
LP: Allons ne perdons pas de temps en congratulations inutiles. "Temps est argent", disait le philosophe. Jean Poultre, vous connaissez mon aversion pour les faibles, ces êtres hirsutes affublés de guenilles grises et dépareillées, toujours enclins à la complainte. Dans votre travail, il s'agit là d'un thème tout à fait central.
JP: L'Homme est deux. Il se sait faible et insécure. Il connaît les fauves qui rôdent à l'entour de son feu de camps. Il connaît le risque de vivre. Mais il sait aussi que ses mains, sculptures de Dieu, parfaites et tout-entières tendues vers la domination de l'espace-nature, il sait qu'elles sont le remède à sa douleur, à son éternelle soumission. Une sorte de parapluie contre la violence du monde sauvage. Et il les brandit! Il les montre, ses paumes faisant face aux cieux du Seigneur.
Donnez à l'Homme la volonté, il saura créer son propre trône, de ses mains.
Donnez à l'Homme une vision et il saura voir dans l'avenir, de ses mains.
Dans mon travail, modeste mais déterminé, je me propose de donner aux gens, même aux plus simples, une voie lumineuse. Un chemin flèché vers la Nation en tant que ciment et famille.
Je ne supporte pas les assistés, ces pleurnicheuses efféminées que sont les pauvres. Pour vous citer: "Les faibles ont des problèmes. Les forts ont des solutions." Voilà le crédo qui agite cette flamme qu'est mon art.
LP: Parlez-nous des femmes. Qui sont-elles? Où vont-elles en cette veille d'An 2000?
JP: La femme est un objet étrange. Des profondeurs de la nuit, depuis des temps animaux, nous ne comprenons cette créature jaillie du feu. Voyez ses cheveux: FEU! Voyez cette beauté, excessive, cette propention aux sanglots: FEU! Néanmoins, la femme mérite notre admiration. Elle enfante et donne à ce monde qui menace en permanence de s'effondrer, une continuité. Un fil.
La femme est de tous temps le temple de la vie. Dieu l'a créée belle et fragile. Et voici le piège. Il s'est refermé très tôt sur nous-autres. Il fallait bien que l'Homme donne son semi. Que l'Homme offre la vie à la Vie. Il fallait bien qu'entre chasse et peinture, il s'intéresse à ces dames. Alors Dieu l'a faite belle et par-là-même: DÉSIRABLE, oui. Mais ce n'est pas là une qualité.
Ecoutez une musique. Ses méandres subtiles, carressant l'âme, sa douceur, sa légèreté ou sa tristesse vous feront gémir, le front plissé, vous anéantiront d'émotion. Mais une fois le disque terminé, le rideau baissé sur vos tympans, que reste-t-il? Le silence. La musique n'existe pas, elle est une vibration abstraite et impalpable. Elle n'est utile qu'en ce qu'elle se joue. L'instant d'après, je retourne au flux de mes pensées. Eh-bien les femmes, c'est la même-chose. Les femmes ont une valeur instantanée lorsque la vie exige de nous son tribut. Lorsque la vie nous intime l'ordre de la perpétuer.
Certaines militantes du beau-sexe tentent souvent (et celà va croissant aujourd'hui, pour le meilleur mais surtout pour le pire) de singer l'Homme. Elles prétendent avoir une vision, des idées. Mais voyez le résultat lorsque ces dames prennent leur destin en main et se dégagent de l'emprise nécessaire de leur protecteur par nature: Voyez Simone Veil! Les charniers fleurissent sous ses pieds! Des millions d'âmes fauchées au bout du cordon maternel. Je ne vois aujourd'hui en Occident qu'une plaine sinistre couverte de la viande hachée de malheureux fœtus à qui l'on n'a su donner leur chance.
LP: L'immigration sans cesse croissante est un fléau que vous abordez aussi abondamment au fil de votre prose. La mixité, l'égalitarisme, la "mosaïque maoïste" comme vous la nommez, cette nébuleuse effrayante qu'est l'appauvrissement des gènes par le métissage. Tous ces thèmes qui n'ont pas échos par les temps qui courent, vous les abordez avec courage, pour contrecarrer l'hypocrisie ambiante.
JP: Ah! L'étranger! Toutes ces contrées sauvages et belles. Ces étendues de forêts, de mers et d'herbe grasse et nourrissière! Pourquoi fuir un monde si parfait? Je veux dire: biensûr que les campagnes de mon pays sont belles et désirables. Celà, je le conçois. Biensûr que ses fromages, ses pains de mie, son soleil modéré et puis l'odeur de ses cafés ont quelquechose de magique pour les sens d'un non-FRANCAIS. Tout celà, je l'entends parfaitement: Moi-même lorsque je vois dans mon poste de télévision combien les tagines du Maroc semblent savoureux, les bananes de Guinée me font rêver, les noix de coco désaltérant mon oeil gourmand, et ces étendues de riz, vert tendre, quelle promesse inouïe d'accompagner avec brio la blanquette de ma mère-grand. Mais m'avez-vous jamais vu courir en tous sens et brandissant une main en coupelle à chaque pélerain que j'y croiserais, dans ces contrées éloignées et à mille lieues de notre civilisation moderne pour demander "s'al vos plit missiou, dounni-moi di kebab!" ou "t'il bous blaît patlon, dodde à boi des bons bo-bun!" ? Vous imaginez un peu? Si tout le monde sous le prétexte qu'un ailleurs idéalisé par le rêve ou par le petit écran, exotique en diable, évidemment, s'en venait à faire la manche au crochet de son voisin de planète? Je ne sache pas que le concept de frontière ait été créé pour les martiens ou les bêtes, enfin! Et ces petits enfants affamés ne le sont que parceque leurs parents ont choisi pour les administrer des bandits ou de sinistres socialistes qui ne jurent que par l'égalité des sexes et des races et allez savoir encore quelles autres inepties tout juste bonnes pour les écervelés en mal de théories darwinistes improbables et unanimement approuvées malgré leur manque évident de solidité scientifique.
Chacun est né sous un ciel différemment étoilé et sur le ventre d'une mère nourrie de baies endémiques à son terroir propre. Il serait temps de comprendre que les pays savants ne sont pas l'Eglise! Nos ancêtres ne se sont pas battu contre les maures, les normands, les huns et autres vandales et n'ont pas préservées leurs terre de la désolation pour s'en voir spoliés au bout du compte sous le prétexte que nos voisins ne savent maîtriser leurs pulsions animales! Certainement pas!
La mixité, enfin, est le terreau vaseux de la dégénérescence, reconnaissons-le! Tous ces pseudo-intellectuels qui se réclament de l'esprit des lumières, ces affreux scribouillards avides de cocktails et de religions new-age, ensalonés et drogués jusqu'au bout des veines, s'ils souhaitent salir le cadeau divin que sont leurs gènes en les mêlant à ceux de la première mûlatre venue, je vous le demande, pourquoi voudraient-ils nous imposer ce suicide culturel? Quel est ce prosélitisme sexuel impossible? Eh-bien nous savons où se terrent ses racines et dans les écrits de quels imposteurs il a vu le jour. Inutile de les nommer. Leurs noms de famille nous donnent instantanément quantité d'information sur leurs origines religieuses et par-là même, raciales.
Les lapidateurs du Christ sont toujours là et leur programme est aussi limpide que leur sang est trouble puisque mêlé à celui d'autrui.
Est-ce que ce monde est sérieux? Est-ce là ce que nous voulons? Demandez à votre femme de ménage si elle souhaite que ses enfants soient musulmans ou taoïstes ou mieux encore: un savant mélange des deux, vous verrez bien quel accueil elle vous réserve.
PL: À l'instar de nombre de collaborateurs de cette rédaction, vous êtes très proche des hautes sphères du RPR et plus généralement du tissus politique complèxe qui compose la droite française dans toute sa diversité. On vous a souvent reproché ces accointances malgré votre grande honnêteté et le fait que vous ne vous en soyiez jamais caché.
JP: Je ne suis pas un théoricien. Je vis pour voir. Je vois à travers l'Esprit, la matière, le temps... Par le biais de l'Art, je vois les choses invisibles et je les extirpe de la nuit où elles se cachent. Toute cette matière brute, je la donne en cadeau à d'autres, tous azimuts, tel un geyser qui par ma plume abreuve les esprits. Après moi et les gens de ce bois dont je suis fait et que je veux bien partager avec mes semblables, d'autres dont le rôle est plus technique, plus théorique pourront mettre en forme ce magma d'idées. Je n'ai pas la prétention de savoir structurer une pensée brute. Je me vois plus comme une sorte de médium courageux et implacable. (rires)
Je suis un artiste, je ne fais pas de politique. Néanmoins, il se trouve que je ne me sens compatible qu'avec une certaine qualité d'Hommes. Et ces Hommes de valeur ne se trouvent pas sous le sabot d'un cheval de trait. Parmi les grands esprits qui composent le monde politique, seuls les grands patriotes trouvent grâce à mes yeux. Et ces patriotes ne sont plus légion dans les rangs complexés, constipés, étriqués de la gauche parlementaire. Et je ne vous parle même pas de ces internationalistes pathétiques et criminels que sont les communistes et autres apôtres du terrorisme le plus sauvage. Je suis un homme de son pays, qui crie de douleur lorsque sa terre souffre. Et légions sont ceux qui, dans l'aile droite du paysage politique FRANCAIS partagent ce ululement de détresse. La France est née dans le sang et la douleur. Elle a dû sacrifier bien des âmes courageuses pour devenir ce joyaux indiciblement rayonnant. Et nous sommes là pour défendre sa pureté cristaline contre les assauts de la poussière ambiante. Tout comme votre femme de ménage prend soin de la propreté de vos latrines ou de la netteté de vos rayonnages. (rires)
...suite de cette interview demain, sur cette même page.
Enfant!
Enfant!
Enfant de la Patrie!
Enfant de l'Homme!
Enfant des femmes!
ENFANT DE PUTAIN!
Enfant modèle!
Enfant de demain...
Bourgeon d'humain, tu ES demain!
Tes cellules sont un légo.
Le hasard n'a plus sa place.
Qui prétendra que tu ne mérites point
La sentence du juste, ton Père,
Lorsque tu fais le jeu du malin?
JE T'EN CONJURE, enfant!
Enfant de l'amour,
Enfant de la balle,
Enfant de Dieu.
Sois le disciple de celui qui sait.
Nous t'adorons, tu es un bijou, tu luis
Mais si point n'obéis, polisson-né,
Alors le ire s'abattra.
Si tu refuses de construire
Ce monde idéal où tu as la chance de voir le jour
Ce monde parfait que nous te léguons,
Ce paradis qui un jour sera le tien,
Lorsque les anciens passeront, tout au bout du chemin,
Si tu t'obstines à tout détruire rageusement
Sans discerner le mal du Bien
Nous saurons te faire plier.
Tu nous dois tout, nous sommes ton Père.
Enfant de rien,
Enfant de tout,
Bourgeon d'humain,
Je te protègerai!
Jusqu'en le ventre de ta mère,
Qui te voudrait tuer dans l'oeuf,
Lorsque ton père n'est pas de son choix.
NON! Aucun meurtre ne sera toléré!
NON!
NON!
NON!
NON!
NON!
LAISSEZ LES VIVRE AU NOM DU CIEL!
AU TRÈS SAINT NOM DU TRÉS HAUT PÈRE!
AU NOM SACRÉ DE LA VIE TOUTE PUISSANTE!
NE TUEZ PLUS CES PETITS ÊTRES QUI NE SE DÉFENDRONT POINT!
Quelle faute ont-ils commise, lorsqu'en vos intestins, Mesdames,
Ces petits Hommes, enfants de FRANCE,
Enfants doués d'âme et de sourire,
Espoir de mes larmes,
Pour se voir ainsi fauchés avant que d'être?
Point d'inquiétude, écoutez ce cri dans votre coeur meurtri!
LISTEN TO THIS CRY IN YOUR MURDERED HEART!
Laissez ces nanhommes venir à nous.
Nous saurons prendre soin
De leur droit chemin.
Nous saurons faire que soit
Leur talent mis en oeuvre.
Nous saurons leur donner,
La juste parole qui fait d'un Homme
Un Homme de FRANCE.
Enfant de la Patrie!
Enfant de l'Homme!
Enfant des femmes!
ENFANT DE PUTAIN!
Enfant modèle!
Enfant de demain...
Bourgeon d'humain, tu ES demain!
Tes cellules sont un légo.
Le hasard n'a plus sa place.
Qui prétendra que tu ne mérites point
La sentence du juste, ton Père,
Lorsque tu fais le jeu du malin?
JE T'EN CONJURE, enfant!
Enfant de l'amour,
Enfant de la balle,
Enfant de Dieu.
Sois le disciple de celui qui sait.
Nous t'adorons, tu es un bijou, tu luis
Mais si point n'obéis, polisson-né,
Alors le ire s'abattra.
Si tu refuses de construire
Ce monde idéal où tu as la chance de voir le jour
Ce monde parfait que nous te léguons,
Ce paradis qui un jour sera le tien,
Lorsque les anciens passeront, tout au bout du chemin,
Si tu t'obstines à tout détruire rageusement
Sans discerner le mal du Bien
Nous saurons te faire plier.
Tu nous dois tout, nous sommes ton Père.
Enfant de rien,
Enfant de tout,
Bourgeon d'humain,
Je te protègerai!
Jusqu'en le ventre de ta mère,
Qui te voudrait tuer dans l'oeuf,
Lorsque ton père n'est pas de son choix.
NON! Aucun meurtre ne sera toléré!
NON!
NON!
NON!
NON!
NON!
LAISSEZ LES VIVRE AU NOM DU CIEL!
AU TRÈS SAINT NOM DU TRÉS HAUT PÈRE!
AU NOM SACRÉ DE LA VIE TOUTE PUISSANTE!
NE TUEZ PLUS CES PETITS ÊTRES QUI NE SE DÉFENDRONT POINT!
Quelle faute ont-ils commise, lorsqu'en vos intestins, Mesdames,
Ces petits Hommes, enfants de FRANCE,
Enfants doués d'âme et de sourire,
Espoir de mes larmes,
Pour se voir ainsi fauchés avant que d'être?
Point d'inquiétude, écoutez ce cri dans votre coeur meurtri!
LISTEN TO THIS CRY IN YOUR MURDERED HEART!
Laissez ces nanhommes venir à nous.
Nous saurons prendre soin
De leur droit chemin.
Nous saurons faire que soit
Leur talent mis en oeuvre.
Nous saurons leur donner,
La juste parole qui fait d'un Homme
Un Homme de FRANCE.
mercredi 8 juillet 2009
femme, sois toi!
Non! L'Homme n'est pas une femme!
Non, mesdames! L'Homme n'est pas doté des mêmes qualités.
À qui feras-tu croire que je suis ton égale, garce?
Tu as une mission que tu refuses de remplir, mais ce n'est pas moi qui ai créé ton corps.
Ce n'est pas moi qui t'ai donné ce pouvoir immense et brûlant de donner la vie.
Non-plus que ce n'est moi qui t'ai dotée de ce pouvoir chaud de donner la joie.
Le pouvoir de l'Homme est froid et supérieur, qui le niera? Toi?
Bats-toi contre moi, vérifions celà, si tu es si sûre de toi!
La force que m'a donné le Très Haut et qu'aucune science n'oserait contredire,
Fait de moi ton précepteur.
Je ne porte pas de jupe, tu le vois bien!
Pourquoi alors, portes-tu, toi, les braies qui couvrent les Hommes?
Où vas-tu ainsi fagotée?
Et cette chevelure sans fin, si désirable que tu portais autrefois?
À la trape? POURQUOI?
Je te le dis, femme, tu n'es pas mon semblable.
Accepte ton rang. Crains-moi.
Ta sagesse de mère est noble.
Ton sang est pur et coule en les veines de notre fils.
Ne le salis pas en te grimant ainsi de laideur.
Reste à la place qui est la tienne.
Veux-tu que ton sang soit de règles?
Crois-tu que le mien soit menstrues?
C'est bien là le discours des grues.
Petite chose brouillonne, tu bouillonnes!
Croquis égaré dans le coin d'une page de la Bible,
Tu as un saint rôle. Que ne t'en satisfais point?
Vois où tes caprices nous ont menés, femme!
En ce jour des temps modernes, à la merci des mosaïstes maoïstes!
Tu as voulu siéger là où nous sommes légitime, nous autres ton époux.
Tu es de mon sang, mais retourne dans le rang!
Sois femme, femme! Sois toi!
Ne me regarde pas si envieuse.
Pécheresse, je n'ai pour toi que tendresse et bonhommie.
Si tu reviens, je t'accepterai sous ton toit.
Quel est-il donc, cet Homme qui ne saurait pardonner comme Christ lui apprit?
Sur le Mont Golgotha, il y a 2000 ans de celà, un Homme est mort pour toi.
N'oublie point cela, Eve qui pêchas.
Non, mesdames! L'Homme n'est pas doté des mêmes qualités.
À qui feras-tu croire que je suis ton égale, garce?
Tu as une mission que tu refuses de remplir, mais ce n'est pas moi qui ai créé ton corps.
Ce n'est pas moi qui t'ai donné ce pouvoir immense et brûlant de donner la vie.
Non-plus que ce n'est moi qui t'ai dotée de ce pouvoir chaud de donner la joie.
Le pouvoir de l'Homme est froid et supérieur, qui le niera? Toi?
Bats-toi contre moi, vérifions celà, si tu es si sûre de toi!
La force que m'a donné le Très Haut et qu'aucune science n'oserait contredire,
Fait de moi ton précepteur.
Je ne porte pas de jupe, tu le vois bien!
Pourquoi alors, portes-tu, toi, les braies qui couvrent les Hommes?
Où vas-tu ainsi fagotée?
Et cette chevelure sans fin, si désirable que tu portais autrefois?
À la trape? POURQUOI?
Je te le dis, femme, tu n'es pas mon semblable.
Accepte ton rang. Crains-moi.
Ta sagesse de mère est noble.
Ton sang est pur et coule en les veines de notre fils.
Ne le salis pas en te grimant ainsi de laideur.
Reste à la place qui est la tienne.
Veux-tu que ton sang soit de règles?
Crois-tu que le mien soit menstrues?
C'est bien là le discours des grues.
Petite chose brouillonne, tu bouillonnes!
Croquis égaré dans le coin d'une page de la Bible,
Tu as un saint rôle. Que ne t'en satisfais point?
Vois où tes caprices nous ont menés, femme!
En ce jour des temps modernes, à la merci des mosaïstes maoïstes!
Tu as voulu siéger là où nous sommes légitime, nous autres ton époux.
Tu es de mon sang, mais retourne dans le rang!
Sois femme, femme! Sois toi!
Ne me regarde pas si envieuse.
Pécheresse, je n'ai pour toi que tendresse et bonhommie.
Si tu reviens, je t'accepterai sous ton toit.
Quel est-il donc, cet Homme qui ne saurait pardonner comme Christ lui apprit?
Sur le Mont Golgotha, il y a 2000 ans de celà, un Homme est mort pour toi.
N'oublie point cela, Eve qui pêchas.
PAUVRE PAUVRE.
Pauvre, sois riche!
Je te l'ordonne!
Suis mon exemple!
Suis la vraie route!
Cesse de demander l'aide!
CESSE OU EN-VA T'EN!
Pauvre, tu es bien laid, aujourd'hui.
Qui t'écoutera geindre?
Ne sais-tu prendre des risques?
Ne sais-tu qu'il n'y a de salut que dans l'action?
Ne sais-tu qu'il se faut violer pour vivre?
Qui t'a fait croire qu'il fallait compter sur tes frères pour sortir de la fange?
TU N'AS PLUS VOCATION, VA T'EN DE LÀ!
Pauvre, je te le dis:
Aujourd'hui c'est fini.
Collabore au grand élan de ton pays.
Donne-lui ta sueur et tu en seras dit merci.
Donne à FRANCE ce qu'elle te donnait de son sein.
Autrefois tu riais, mais désormais c'est nous qui rit.
EN-VAS TOI LÀ OU ON VEUT BIEN DE TOI! (Mais ce n'est certainement pas chez moi.)
Pauvre, écoute moi:
ASCOLTA ME, LISTEN TO ME!
Ecoute le poète qui crie les mots-maux de son mentor:
"Dire aux hommes qu'ils se sont échoués
Qu'on peut refaire sa vie plusieurs fois
Sans un mot, recommencer
Se prendre en charge et pas charger l'état" (M.S. in "Allons danser")
Voilà pour toi, qui voulais vivre de chômage et d'eau douce,
Vivre la vie que tu ne méritais pas.
PAUVRE, TU ES UN CON, CASSE-TOI!
Et ça ira.
mardi 7 juillet 2009
J'ai eu une vision dans la télé.
Dans ma télé, j'ai vu la lumière.
J'ai vu la lumière qui allume la nuit dans les têtes.
Dans la télé réformée, les visages ont changé.
J'ai vu la lumière des nouveaux visages et ça m'a réchauffé.
Dans les télés, désormais, les bouches parlent vrai.
Elles font savoir aux enfants ce qui est bon et ça c'est bon.
Dans ma télé que j'ai rêvée, je vois enfin les vrais gens bons.
Elle me fait comme le soleil.
La télé est à nouveau le soleil.
Elle est sorti des égouts et elle a pansé ses rougeurs.
Dedans ma télé, une vision plus nette, plus réaliste a bronzé mes yeux.
Ses rayons clairs ont blanchi les têtes blondes qui pleuraient avant.
On la regarde, elle est enfin claire.
Elle soigne ses malades, comme la FRANCE n'a que trop soigné ses brebis égarées.
Elle sait soigner ses ouailles avec soin et oint si bien les miens.
La télé est re-née.
Télé de demain, sois la bienvenue, tu me plais.
Tu es moderne et tu parles à cœur ouvert de tout et de rien.
Finies les ambiances fumeuses et les langues boisées.
Finis les salmigondis abscons qui blessaient mes yeux humides.
Puisque Léon Zitrone est mort, tu as re-né Patrick Sabatier.
Tu fais de ton mieux et ce mieux est toujours mieux que la meilleure des télés des repentants d'alors...
J'ai souvenir d'une télé qui malgré le noir et le blanc, rougeoyait vertement et salissait les vedettes.
Mais l'exorcisme a lavé ta bouche pour mes yeux de poète.
Apprends-moi le ton, le vrai ton, pas celui de tonton.
Rouge, tu es sale.
Mon visage est ROUGE, couvert de psoriasis et perd de nombreux petits copeaux BLANCS.
Je me sens si sale, si épouvantablement rongé.
ROUGE! moi. Homme de France. Le mal me mange depuis dedans et vous montre les stigmates de cette terre!
FRANCE! JE SOUFFRE POUR TOI!
Comme toi, je perds le fruit de ma douceur, je suis rapeux et avachi, je suis couvert de plaques rouges qui me rongent comme un ciseau, une faucille maigrit la planche de salut, lime mon nez, mes joues.
FRANCE! MON CORPS EST LE TEMPLE DE TA SOUFFRANCE!
Je me tortille et gémis, mes ongles grattent mon front et les radicelles du prurit se logent sous leur coque pour aller inséminer les restes de ce corps d'homme... si faible... si frêle.
Christ, me vois-tu? Pourquoi m'as-tu choisi?
FRANCE! UNE POMMADE EXISTE DE CORTIZONE, QUI SAURA BLANCHIR TON GALBE!
Le couteau, d'entre leurs dents, vient me raper, vient te fondre sur les pâtes de l'envahisseur. Qui saura refaire ton vieux pot où les soupes de Grand-Maman bullaient calmement dés le tomber du jour? Ce pot où le vin et la poule, le feu et le lait transitent à leur tour avant de se couler derrière tes cravates des courageux...
FRANCE! SOIS MA FEMME! LÈCHE MES PLAIES! LIBÈRE LA PEAU DE TON SERVITEUR ET ESCLAVE!
Je durcis, une armure de honte me rend dur, rouge et rugueux. Je souffre et me démange le cul, mon doigt s'y loge et fouille et gratte et cherche et en ramène ce qu'il peut de ce qui démange, brûle, ronge, épaissit mon mal, TON MAL!
FRANCE! JE PERDS MA PEAU! JE SUIS BLANC, DIS-LE MOI, SOIS RASSURANTE, SAUVE TON DERNIER FILS!
Je me sens si sale, si épouvantablement rongé.
ROUGE! moi. Homme de France. Le mal me mange depuis dedans et vous montre les stigmates de cette terre!
FRANCE! JE SOUFFRE POUR TOI!
Comme toi, je perds le fruit de ma douceur, je suis rapeux et avachi, je suis couvert de plaques rouges qui me rongent comme un ciseau, une faucille maigrit la planche de salut, lime mon nez, mes joues.
FRANCE! MON CORPS EST LE TEMPLE DE TA SOUFFRANCE!
Je me tortille et gémis, mes ongles grattent mon front et les radicelles du prurit se logent sous leur coque pour aller inséminer les restes de ce corps d'homme... si faible... si frêle.
Christ, me vois-tu? Pourquoi m'as-tu choisi?
FRANCE! UNE POMMADE EXISTE DE CORTIZONE, QUI SAURA BLANCHIR TON GALBE!
Le couteau, d'entre leurs dents, vient me raper, vient te fondre sur les pâtes de l'envahisseur. Qui saura refaire ton vieux pot où les soupes de Grand-Maman bullaient calmement dés le tomber du jour? Ce pot où le vin et la poule, le feu et le lait transitent à leur tour avant de se couler derrière tes cravates des courageux...
FRANCE! SOIS MA FEMME! LÈCHE MES PLAIES! LIBÈRE LA PEAU DE TON SERVITEUR ET ESCLAVE!
Je durcis, une armure de honte me rend dur, rouge et rugueux. Je souffre et me démange le cul, mon doigt s'y loge et fouille et gratte et cherche et en ramène ce qu'il peut de ce qui démange, brûle, ronge, épaissit mon mal, TON MAL!
FRANCE! JE PERDS MA PEAU! JE SUIS BLANC, DIS-LE MOI, SOIS RASSURANTE, SAUVE TON DERNIER FILS!
Jambon!
Je te mets dans la soupe.
Je te mets dans les corps.
Je te mets dans le sain sein
Et tu laves à l'heure où sonne la cloche sur le trottoir.
Seuls les justes te boiront car la France sait reconnaître son fils.
La baguette se mange-t-elle avec des baguettes? HEIN?
Je te mets dans les corps.
Je te mets dans le sain sein
Et tu laves à l'heure où sonne la cloche sur le trottoir.
Seuls les justes te boiront car la France sait reconnaître son fils.
La baguette se mange-t-elle avec des baguettes? HEIN?
Thauvin, reviens.
Thauvin, ton corps qui se coulait de mètre en mètre en gras rebonds de juste en juste entre 4 cordes.
Thauvin, ton grime épais, tes voix bouchères, ta lubrique lippe.
Thauvin, reviens, bas les si blancs, bas les si justes, bas les si faux.
Thauvin, de ta salive, de tes panards taurins, naissent les vocations.
Thauvin, gagne! Je l'exige.
Thauvin, ton grime épais, tes voix bouchères, ta lubrique lippe.
Thauvin, reviens, bas les si blancs, bas les si justes, bas les si faux.
Thauvin, de ta salive, de tes panards taurins, naissent les vocations.
Thauvin, gagne! Je l'exige.
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