vendredi 21 août 2009

Artrirsrtre


COCHON DE TOI!
Mais qui t'a permis? 
Est-ce un métier que celà? HEIN?
Tu mets des mots dans ton petit cahier et tu les estimes agencés?
QUI - T'A - PERMIS, NOM DE DJIEU?
Tu fais des boulettes avec tes crottes de nez sur un pupitre encadré de néons, et voilà?
VOILÀ? VOILÀ? TU DIS "VOILÀ"?
Tu joues de la corde de fer sur des rythmes de singe et c'est là du Wagner?
QUI T'A DONNÉ LE NOM D'ARTISTE? QUI A OSÉ?
Tu salopes sans rougir des pans entiers de l'histoire de l'Homme et tu souris?
TU SOURIS BÉATEMENT, SALOPARD?
Tu mets trois acteurs sur des planches et leur fais babouiner en yahourt et tu attends qu'on se pâme?
TU VOUDRAIS QU'ON T'APPLAUDISSE, DE SURCROÎT?
Tu gribouilles avec la merde de ton corps et il faudrait t'appeler Ingres?
TU TE RÉCLAMES DES CUBISTES,  QUI FONT ENCORE RIRE LES ESTHÈTES?
Saltimbanque de petite envergure, BATS-TOI! Viens-voir l'artiste qui t'insulte avec ses viscères
Viens voir ce que Pal peind et lire ce que Jean te hurle à la gueule de sa plume de couleurs
Viens écouter ce que Mittel te dit dans ses chansons ÉCRITES, elles! par un Hugo populaire
Je t'exorcise, tu n'as pas de talent, petit salaud, petit dégueulasse sans morale oculaire
MAIIIIIIS LE JOUR EST LÀ, ENFIN, où tes élucubrations gesticulatoires prennent fin
Tes singeries lamentables seront érrrrrradiquées par la LOI, et jetées au vomitorium de la Kulture
Je m'y engage.