mercredi 16 février 2011

De ma tombe, un saint-homme pour qui la toute puissance de la FRANCE avait son importance, a trouvé les mots précis pour me sortir et insuffler à nouveau dans cette vieille carcasse asthmatique et couverte de plaques, le fluide de la vie. La très SAINTE SEMENCE.
JE VIS ! À nouveau mon écorce respire. J'ai vu le cercle lumineux tout au bout de la nuit que de noires figures damnées tentaient de me faire oublier. Mais DIEU n'a pas jugé utile de me garder en son sanctuaire éternel. 
Votre  serviteur se bat à nouveau à vos côté, jeunes bleus de sang, jeunes BLANCS de peau, jeunes rouges de cœur gisant.
Et si la Parque n'a su se résoudre à couper mon fil, je ne puis m'empêcher de croire que le Très-Haut avait ses raisons et que ses desseins à mon égards sont impérieux, prioritaires, uniques.
IL M'A ÉLU !
Le phœnix de la pensée françoise, après le Christ qui a remis son tablier par-delà les épines et les clous, ouvre à nouveau grand la bouche, au dam immense des droit-de-l-hommistes en armure qui pérorent mollement et à longueur d'eux-mêmes, tristes onanistes, au détriment des intérêts de la FRANCE.
Dans le tumulte sinistre et délétère de la bienpensance assistaniste, je brillerai, dévoué, le coeur pur, parmi moi et parmi vous, j'éveillerai les consciences à la liberté par la soumission.

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C'est à la Nation que vous parlez, ouvrez votre cœur et soyez respectueux de la syntaxe et de la bienséance, tas de barbares hirsutes. ET PORTEZ LA CRAVATE, AI-JE ÉTÉ SUFFISAMMENT CLAIR?